Le réchauffement climatique est un problème majeur de notre génération. La température globale de la planète a augmenté d’environ 0,6°C au global sur la planète. Alors que ce problème s’approche de plus en plus et que nous pouvons dès aujourd’hui en apercevoir les effets, l’été 2022 étant le plus chaud jamais enregistré en Europe, très peu de mesure majeure sont prises pour le stopper au niveau mondial.
On peut citer les accords de Paris, le plus ambitieux, signé en 2015 par près de 200 pays et visant à limiter l’augmentation de la température de la planète sous les 1,5°C, dans lesquels la Chine s’est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre mais qui dans le même temps, a augmenté de 21% ses projets de centrale au charbon lors du premier semestre de 2020 (Frédéric Schaeffer (Correspondant à Pékin)). Également selon un rapport plutôt inquiétant du GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) publié en aout 2021, la température moyenne de la planète devrait augmenter de 1,5°C d’ici 2030, le niveau de la mer devrait augmenter d’1m d’ici 2100 alors qu’il a déjà pris 20 mètres depuis les 100 dernières années, et enfin le rapport affirme que les conséquences dues à ce réchauffement seront “irréversibles pour des siècles ou des millénaires”.
De plus, plusieurs points de non-retour pourraient être atteints plus tôt que prévu. Ces point de non-retour pourraient être atteint si la température moyenne de la planète augmentait de 1,5°C . Parmi ces point de non-retour se trouve le dégel du permafrost, qui pourrait libérer beaucoup de carbone dans l’atmosphère.